La séance de thérapies psychocorporelles avec Valérie Rousseau

Votre corps vous fait mal, douleurs de ventre ou de dos, ou de tête…. Vous ressentez souvent de la déprime, ou de l’énervement, ou un vide intérieur, ou encore  de la frustration… vous vous sentez parfois perdu dans la vie, vous cherchez un sens, une raison à ce que vous faites… vous procrastinez sans trouver de solution …vous souhaitez changer vos comportements mais ne savez pas par où commencer… vous répétez les mêmes histoires, les mêmes échecs…vous êtes angoissé ou souffrez de phobies…les thérapies psychocorporelles sont des approches d’accompagnement efficaces qui vous proposent des objectifs concrets.

Partant du principe que tout ce qui ne s’exprime pas par des mots ou des actes va s’imprimer dans le corps et le psychisme et se traduire par des troubles divers, par du mal être mental ou de la maladie, l’approche psychocorporelle considère la personne dans son entièreté, à la fois physique-énergétique et psycho-émotionnelle.

Le thérapeute psychocorporel guide le consultant dans la compréhension des messages du corps, en tant que mémoire émotionnelle de son vécu et de ses traumas depuis la période foetale jusqu’à aujourd’hui.

Il s’appuie sur plusieurs outils d’accompagnement, d’une part pour mettre en lumière les causes profondes de la problématique du consultant, d’autre part pour révéler les émotions ou les traumas enfouis dans le corps et l’inconscient, enfin pour les libérer.  Centré sur la problématique du consultant et non sur l’application d’une pratique, le thérapeute choisit des outils d’accompagnement adaptés aux besoins, à la demande et à la personnalité de chacun.

Mon orientation thérapeutique est totalement tournée vers la réponse à une problématique donnée et, l’outil d’accompagnement peut varier selon la personnalité du consultant. En effet, certains seront plus sensibles au verbal, d’autre au corporel. Certains découvrent la thérapie, d’autres en ont déjà fait plusieurs.

Ainsi un trouble du sommeil peut s’améliorer par une séance de sophrologie, ou d’hypnose ou de réflexologie plantaire avec des huiles essentielles associées. Certaines personnes répondront mieux à une pratique plutôt qu’à une autre. Je détermine ce choix selon le bilan de l’entretien et par expérience.

De plus, avec l’évolution des séances et l’approfondissement du travail thérapeutique, les besoins changent et une pratique peut ne plus convenir. Par exemple pour des troubles anxieux, la personne peut démarrer par des pratiques en sophrologie pour apprendre à se détendre et à écouter son corps, puis continuer vers de la sophro-analyse ou vers de l’hypnose ericksonnienne si elle souhaite explorer les causes plus profondes. Chaque pratique a ses limites et répond mieux à certains besoins.

Par un bilan régulier de l’évolution du travail thérapeutique, je questionne le consultant sur son intention d’aller plus loin dans son cheminement intérieur. C’est pourquoi 3 séances suffisent à répondre à une problématique précise, mais plusieurs mois sont nécessaires pour lever un mal-être diffus, ou un scénario de vie difficile.

Mon accompagnement s’articule autour de 3 moments d’évolution et nécessite une réelle participation du consultant :

1/ Faire face à sa problématique (physique ou psychique) : la voir, l’accueillir, l’accepter

2/ La mettre à distance :  être capable d’en parler, commencer à la transformer

3/ Libérer le trauma, la douleur, le mal être :  déposer une souffrance pour terminer une boucle émotionnelle

La bienveillance, l’écoute et le respect des limites de chacun est au cœur de mon accompagnement.

Le travail thérapeutique, qu’il soit psychologique ou physique, est d’abord selon moi une rencontre.

Il n’y a pas de bon ou de mauvais thérapeute, de bonnes ou de mauvaises approches. Un thérapeute peut très bien convenir à une personne et ne pas « coller » avec une autre.

Cela dépend des personnalités, de l’histoire de chacun, du rapport de confiance qui s’installe.

Cette première rencontre est essentielle pour savoir si l’on souhaite s’engager dans ce travail personnel et intime avec un accompagnant.

C’est pourquoi  la première séance a toujours une durée de 1h30. La première heure de la séance sert à découvrir, à comprendre et à créer du lien avec le consultant, la demi-heure restante permet de proposer une pratique courte.

Chacun doit se sentir libre de ne pas reprendre un RDV, sans avoir à s’expliquer, sans se sentir juger. En revanche toute séance doit être honorée,  ou si nécessaire annulée 48h à l'avance.  Parfois, je dirige la personne vers un thérapeute avec des outils mieux adaptés à sa problématique du moment.

Puis, si la personne est en confiance, je lui propose la mise en pratique d’un outil thérapeutique en tenant compte de la demande et des besoins.

Finalement, le plus important, demeure toujours le travail d’écoute. Le thérapeute n’est pas un « sachant » mais un accompagnant. Sa capacité d’écoute au niveau physique et/ou psychique, et son empathie participe à l’essentiel de l’accompagnement.  Autoriser cet espace-temps pour exprimer ses émotions, ses ressentis en sécurité, sans honte et sans jugement, est le fondement du travail thérapeutique que je vous propose.

« A chaque instant, une personne fait le meilleur choix possible qui est à sa disposition » Milton Erickson